Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

alain de benoist - Page 2

  • Décadence ?...

    Le numéro 58 de la revue Krisis, dirigée par Alain de Benoist, avec pour rédacteur en chef Thomas Hennetier, vient de paraître. Cette nouvelle livraison est consacrée à la question de la décadence...

    Vous pouvez commander ce nouveau numéro sur le site de la revue Éléments.

    Bonne lecture !

     

    Krisis 58.jpg

    Au sommaire :

    Entretien avec Pierre-André Taguieff / « La grande illusion est de croire qu’on ne peut en finir avec le catéchisme progressiste qu’en adoptant le catéchisme décliniste. »

    Jerónimo Molina / Une « banalité oubliée » : la décadence selon Julien Freund.

    Michel Lhomme / La décadence, dernière catin de l’extrême dévastation.

    David Engels / L’Europe du xxie siècle entre Rome et la Grèce, réflexions au sujet du déclin civilisationnel.

    Baptiste Rappin / Heidegger : décadence, nihilisme et commencement.

    Dominique Wohlschlag / René Guénon et le « kali-yuga ».

    Juan Asensio / « Les Français de la décadence » : André Lavacourt vit-il encore dans la plus secrète mémoire des hommes

    Entretien avec Michel Onfray / « La décadence advient quand la mémoire identitaire de la civilisation est perdue. »

    Document : Juvénal / Rome, sauve qui peut !

    Sylvain Gouguenheim / La fin des empires médiévaux.

    Arnaud Imatz / Hégémonie et décadence de l’empire hispanique.

    Juan Asensio / Très brève méditation sur la décadence dans quelques textes de Jean Cau.

    Philippe Barascud / Et « À rebours » fut. Huysmans et la « bible de la décadence ».

    Jacques Bressler / L’idée de décadence chez Gobineau.

    Le Texte : Edward Gibbon / Observations générales sur la chute de l’empire romain dans l’Occident.

    Lien permanent Catégories : Revues et journaux 0 commentaire Pin it!
  • La vie aventureuse de Julius Evola...

    Les éditions Ars Magna viennent de traduire La vie aventureuse de Julius Evola, une biographie de l'auteur de Chevaucher le tigre, signée par Antonio Scarabelli. L'ouvrage est complété par une préface d'Alain de Benoist.

    Andrea Scarabelli, diplômé en philosophie, est vice-secrétaire de la Fondation Julius Evola. Auteur et traducteur, il a supervisé la publication de nombreux textes de Julius Evola et a participé à un grand nombre d’études consacrées à sa pensée.

     

    Scarabelli_La vie aventureuse de Julius Evola.jpg

    " Qui est Julius Evola ? À cette question audacieuse, seul l’ouvrage d’Andrea Scarabelli était en mesure d’apporter une réponse exhaustive. Fruit de plusieurs années de recherche, cette enquête biographique s’appuie sur une grande quantité de sources (textes inédits, archives de police, correspondances, témoignages oraux, revues et journaux, entre autres), dressant le portrait d’un homme qui échappe aux catégorisations évidentes, aux louanges autant qu’aux anathèmes. Du dadaïsme international au traditionalisme italien, des établissements de nuit européens aux cimes alpines immaculées, nous découvrons un Evola multiple, parfois déconcertant, toujours fascinant : allergique aux conventionnalismes, sa liberté lui attira les foudres de nombreux adversaires, décontenancés par ses audaces et un métabolisme personnel unique dans l’histoire intellectuelle du XXe siècle. Mais au-delà des critiques, que cette biographie ne néglige nullement, l’œuvre d’Evola se distingue par sa pluralité thématique, la force de ses propositions et l’enthousiasme qu’elle a suscité et qu’elle suscite encore de nos jours. Cette édition française augmentée, préfacée par Alain de Benoist, comporte de nouveaux éléments, lesquels contribueront à jeter une lumière inédite sur une vie aventureuse encore nimbée de clairs-obscurs."

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Un autre Rousseau...

    Les éditions Fayard viennent de publier un essai d'Alain de Benoist intitulé Un autre Rousseau - Lumières et contre-Lumières, avec une contre-préface de Michel Onfray.

    Philosophe et essayiste, directeur des revues Nouvelle École et Krisis, Alain de Benoist a récemment publié Le moment populiste (Pierre-Guillaume de Roux, 2017), Contre le libéralisme (Rocher, 2019),  La chape de plomb (La Nouvelle Librairie, 2020),  La place de l'homme dans la nature (La Nouvelle Librairie, 2020), La puissance et la foi - Essais de théologie politique (La Nouvelle Librairie, 2021), L'homme qui n'avait pas de père - Le dossier Jésus (Krisis, 2021), L'exil intérieur (La Nouvelle Librairie, 2022), Nous et les autres - L'identité sans fantasme (Rocher, 2023) et, dernièrement, Martin Buber, théoricien de la réciprocité (Via Romana, 2023).

     

    De Benoist_Un autre Rousseau.jpg

    " Inclassable Rousseau… Fut-il un penseur des Lumières ? L’un de leurs critiques ? Voire leur premier opposant systématique ? L’auteur du Contrat social n’a cessé d’être convoqué au tribunal de l’Histoire, par la droite contre-révolutionnaire, qui lui reproche d’avoir « engendré la Révolution », ou par les libéraux, qui font de lui l’ancêtre du totalitarisme.
    Qu’il ait été un précurseur est incontestable. Il est l’un des premiers à théoriser la question sociale et la sociologie critique, à démystifier les prétendues « lois naturelles » de l’économie politique. Mais la République de la vertu qu’il prône repose sur des principes contraires à ceux des philosophes de l’époque. Opposant culture et civilisation, se méfiant de la raison, il récuse l’optimisme de la pensée du progrès, qu’il ne croit pas inévitable ni même souhaitable…
    Dans sa contre-préface inédite au présent ouvrage, Michel Onfray ajoute à ce débat passionnant : le Genevois est celui qui fit « tomber la guillotine sur le cou de la pensée judéo-chrétienne occidentale trente ans avant que Louis XVI ne fasse les frais de la veuve jacobine »…
    Alors, Rousseau révolutionnaire conservateur ? Il est temps de rouvrir le dossier. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Céline et l'Allemagne...

    Les éditions de la Société des lecteurs de Céline viennent de publier une nouvelle édition revue et augmentée de l'ouvrage d'Alain de Benoist intitulé Céline et l'Allemagne 1933-1945.

    Philosophe et essayiste, directeur des revues Nouvelle École et Krisis, Alain de Benoist a récemment publié Le moment populiste (Pierre-Guillaume de Roux, 2017), Contre le libéralisme (Rocher, 2019),  La chape de plomb (La Nouvelle Librairie, 2020),  La place de l'homme dans la nature (La Nouvelle Librairie, 2020), La puissance et la foi - Essais de théologie politique (La Nouvelle Librairie, 2021), L'homme qui n'avait pas de père - Le dossier Jésus (Krisis, 2021), L'exil intérieur (La Nouvelle Librairie, 2022), Nous et les autres - L'identité sans fantasme (Rocher, 2023) et, dernièrement, Martin Buber, théoricien de la réciprocité (Via Romana, 2023).

    De Benoist_Céline et l'Allemagne.jpg

    " Les polémiques à caractère politique dont Céline a fait (et continue à faire) l’objet, ainsi que les accusations maintes fois portées contre lui, conduisent à s’interroger sur l’accueil que l’auteur de Voyage au bout de la nuit reçut en Allemagne entre 1933 et 1945 et sur les relations qu’il entretint avec les Allemands à cette époque. Curieusement pourtant, à quelques rares exceptions près, les biographes de Céline semblent s’être peu préoccupés jusqu’à présent du problème de sa « réception » outre-Rhin.
    Dans cette nouvelle édition, largement augmentée par rapport à celle réalisée par Le Bulletin célinien en mai 1996 et maintenant épuisée, Alain de Benoist, dont l’érudition célinienne en surprendra plus d’un, fait ici le point de la question. "
    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Guerre des États ou guerre des classes ?...

    Les éditions Krisis viennent de rééditer un essai d’Édouard Berth intitulé Guerre des États ou guerre des classes, avec une préface d'Alain de Benoist.

    Théoricien du syndicalisme révolutionnaire, disciple de Georges Sorel et cofondateur du Cercle Proudhon, Édouard Berth est également l’auteur des Méfaits des intellectuels, déjà réédité aux éditions Krisis. Alain de Benoist lui a consacré un essai intitulé Édouard Berth ou le socialisme héroïque (Pardès, 2013).

     

    Berth_Guerre des états ou guerre des classes.jpg

    " Guerre des États ou guerre des classes ? C’est la question que pose Édouard Berth aux militants politiques français au lendemain de la Première Guerre mondiale. Issu du syndicalisme révolutionnaire théorisé par son maître Georges Sorel, marxiste convaincu, mais également compagnon de route de l’Action française au sein du Cercle Proudhon, Berth est une figure iconoclaste dont le discours participe de l’histoire commune des deux grandes idéologies qui s’affirmèrent durant l’entre-deux-guerres : le communisme et le fascisme. En effet, face à la chute définitive des monarchies et à l’impuissance des démocraties, la question européenne ne peut plus être résolue pour Berth que par deux alternatives : ce sera Lénine, ou bien Mussolini. Une question pour laquelle Berth a lui-même sa réponse : déçu par les compromissions de nationaux ralliés au Capital, il choisit donc (provisoirement) la révolution communiste. Mais une révolution germanophile, vitaliste, héroïque, porteuse des valeurs surhumaines esquissées par Nietzsche, réconciliant la tradition idéaliste allemande avec la question ouvrière, tout en étant empreinte de mysticisme chrétien. Berth est inclassable : son oeuvre, témoignage d’un esprit érudit et iconoclaste, reste l’une des clés pour la compréhension de cette époque de transition et de recomposition idéologique en Europe. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • L'Institut Iliade au travail...

    Le pôle "Études" de l'Institut Iliade et les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier le deuxième numéro des Cahiers d'études pour une pensée européenne qui est consacré au travail. On y trouve des textes de, notamment, Alain de Benoist, Olivier Battistini, Henri Levavasseur, Baptiste Rappin, Rémi Soulié, Olivier Eichenlaub, Lionel Rondoin, Philippe Forget ou Gérard Dussouy.

     

    Cahier d’études pour une pensée européenne n°2.jpg

    " Ce cahier met en lumière une interrogation essentielle : comment redonner au travail un sens qui se traduit en termes d’identité, de communauté et de souveraineté ? En puisant dans les valeurs pérennes de leur civilisation, mais aussi à travers une inventivité qui demande parfois du courage, les Européens pourront redonner du sens à une authentique activité productive, faisant du travail, quel qu’il soit, une voie renouvelée vers l’excellence. La conquête d’une autonomie stratégique à l’échelle de l’Europe constitue une étape incontournable pour ce renouveau, qui suppose des décisions politiques de long terme plus que des spéculations financières. Mais elle nécessite également un véritable redressement intellectuel et moral, dans lequel les dimensions spirituelles et esthétiques sont appelées à jouer un rôle clé. Pour redonner sens au travail, il importe de dépasser la vision strictement matérialiste, individualiste et utilitariste de l’activité humaine, pour la projeter avec ardeur dans un destin historique commun. "

    Directeur de la publication : Olivier Eichenlaub.

    Ont participé à ce numéro : Walter Aubrig, Henri Levavasseur, Armand Berger, Alain de Benoist, Olivier Battistini, Lucie Marin, Benjamin Demeslay, Michele Iozzino, Baptiste Rappin, Rémi Soulié, Olivier Eichenlaub, Lionel Rondoin, Philippe Forget, Gérard Dussouy, Dušan Dostanić , Yvan Droumaguet, Jeremy Baneton, Antoine Dresse, Gabriel Piniés, Philippe Baccou.

    Lien permanent Catégories : Revues et journaux 0 commentaire Pin it!